Bon, sur le fond c'est pas mal, c'est même bien. On retrouve les ingrédients traditionnels , et la liaison humaniste qui fait d'une histoire triste un bon Mô et fait réfléchir le croquants sur le droit chemin et ses détours. 
Cette Grisette (pardonnez-moi madame, c'était irrésistible) obtient haut la main droit de cité et on peut même lui donner un accessit stylistique. Mais que dire de la petite forme du maître de céans, angoissé par l'écran blanc au point de n'être plus capable que d'éditer des borborygmes en moins de 140 signes, ce qu'il fait fort bien d'ailleurs, et de recruter des sicaires... Sic transit gloria mundi ! Ah mes jeunes frères et soeurs ! Malheureux, qui n'avez pas connu le Mô d'avant, quand il préparait ses plaidoiries et buvait ses coupettes dans cette petite tôle de Bienoa, du côté de Saigon... Toute une époque ! Les billets coulaient de sa plume agile comme les vers des lèvres des bergers d'Arcadie. 
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Par : Monseigneur
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