Votre témoignage est touchant mais l'histoire était tout de même écrite d'avance.
Il est difficile d'imaginer, quel que soit le contexte, qu'une personne qui a porté atteinte à l'intégrité physique d'un enfant, puisse continuer à habiter un village et côtoyer les proches (familles, amis, voisinage) de la victime.
Il ne faut pas non plus inverser les choses en faisant passer "l'agresseur", peu importe les raisons qui l'ont poussé à l'acte et même s'il ne les connait pas lui même, au rang de victime, bien qu'il ne soit pas rare, que dans une affaire, il n'y ait que des victimes....
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